La Riche (37)
2020 CONCOURS LAURéAT
33 LOGEMENTS COLLECTIFS ET 6 INDIVIDUELS
CONSTRUCTION NEUVE
ZAC «Ecoquartier du Plessis Botanique», Lot C1B, 37520 LA RICHE_lieu
33 collectifs et 6 logements individuels superposés_programme
ICADE_maîtrise d’ouvrage
CAPLA, architecte_mandataire_maîtrise d’œuvre
2807 m2_surface de plancher
3 700 000 euros h.t._coût de l’opération
Yumé-Station_perspectives
Certification HQE Aménagement
Label Ecoquartier
DESCRIPTION
Le site se trouve sur d’anciennes parcelles maraîchères de La Riche, à proximité de deux monuments historiques : Le manoir du Plessis et le manoir de la Rabatterie.
L’implantation des constructions a été réfléchie pour permettre de dégager un grand îlot végétal, de favoriser les meilleures orientations pour les logements.
Le mur de clôture en pierres au Nord est dégagé et mis en valeur. Le recul réglementaire de six mètres au Nord par rapport à la voie Chesneau autorise un cheminement traversant et constitue un axe structurant du paysage urbain.
Les deux plots de logements collectifs, sont implantés perpendiculairement à la rue Chesneau et le long des deux voies nouvelles ; Les longueurs des façades Nord s’en trouvent minimisées : elles génèrent un front bâti optimisé réduisant ainsi l’impact volumétrique sur les pavillons.
Les logements individuels superposés sont implantés au sud de la parcelle, en recul de six mètres par rapport aux voisins, permettant d’aménager des jardins privatifs pour les logements du R+1.
Le projet porte une réflexion sur les différentes typologies de logements, incluant des logements individuels superposés. Il favorise une mixité intergénérationnelle et offre des espaces publics qualitatifs : un cœur d’îlot ouvert et végétalisé au centre du projet, connecté visuellement aux rues qui l’entourent.
Tous les logements disposent d'un espace extérieur, loggia ou terrasse.
Les vues Est, Ouest et Sud ont été privilégiés et les double ou triple orientations recherchées. Tous les espaces extérieurs seront accessibles de plain-pied depuis les logements.
La règle imposant la couverture des places de stationnement a été exploitée pour favoriser la création de terrasses pour les logements du R+1.